Texte signé par des élus lycéens.

Bonjour,

Comme vous avez pu le voir dans certains médiats, la réforme est reportée ainsi que remise à 0, comme nous le revendiquions.
Je pense qu'il faut passer d'un rapport de force aux négociation(de vrais négociations pas comme notre réunion), et donc demander l'arrêt des
blocus.
C'est pour cela que si vous êtes d'accord avec moi, que je vous propose de signer ce texte, pour cela répondez "je signe" (en précisant votre statut), merci.










-Suite au report de la réforme des lycées à 2010.

-Suite aux propos suivants de M. Darcos, lors de l'assemblée nationale :« On voit bien qu'aujourd'hui, il faut que nous repartions de zéro, parce que nous ne ferons pas cette réforme sans la jeunesse ».




Nous considérons qu'il est temps de passer d'une phase de « rapport de force » à une phase de « négociations », nous appelons donc les lycéens à débloquer leurs lycées et nous demandons au gouvernement d'ouvrir des négociations dans les plus brefs délais.




Elus CVL

signatures



(dont présents à la réunion des 600)

signatures



Elus CAVL

signatures



Elus CNVL

signatures

Je refuse de signé, je ne suis pas d'accord, il repousse la Réforme mais les suppressions de poste ne font pas partie de la Réforme, et sa il les maintiens.
La réforme, à voir, nous n'avons toujours pas les informations, mais les suppression de poste, JAMAIS.
Il recule pour mieux sauter.
S'il repousse, sa veut dire que l'ont à du poids, si l'ont a du poids, on peut négocié, mais il ne faut pas nous non plus reculer, parce que sinon, ont n'avancera jamais, et il se servira de nous pour nous ridiculisé.
Il faut faire attention au monde de la politique, il est bien différent de la vie de tout les jours.

Communiqué de presse du 15 décembre + Mot d’ordre pour le mardi 16 décembre










Hier nous vous annoncions que la mobilisation commençait à avoir des effets cela se confirme aujourd’hui avec le recul de M.Darcos sur sa réforme.
Les « analphabètes » ont finalement eu raison du discours de sourds que
s’efforçait d’entretenir monsieur Darcos avec le reste des acteurs de
l’Education Nationale.




Bien
que nous ne puissions que nous réjouir d’une telle mesure, nous
préférons prendre nos mesures en ce qui concerne cette annonce pour le
moins surprenante. Nous invitons le ministre à ouvrir – cette fois pour
de vrai – le dialogue qui n’avait en fin de compte jamais réellement
débuté. Nous, lycéens, espérons sincèrement que tant notre parole que
celle des différents acteurs de la vie éducative sera pris en compte et
ne servira pas une fois de plus d’alibi. Nous nous permettons aussi de
rappeler que la réforme n’occupait qu’une partie de nos revendications
et que nous ne comptons nullement baisser les bras face aux
suppressions de postes, à la suppression de la carte scolaire, la
création de la surveillance sur Internet ou encore la réforme du BAC
pro !




La mobilisation salonnaise est exemplaire,
aucun débordement n’est à déplorer, les manifestations sont toujours
autant animées et emplies de monde (malgré des articles peu élogieux
des – presque – journalistes de la provence). Aujourd’hui comme
vendredi dernier les lycées de Craponne et l’Emperi étaient bloqués.
Ils le seront aussi demain, Mardi 16 Décembre puisque les votes durant
les AG ont été favorables à la reconduction des blocus. Désolé monsieur Darcos nous ne cèderons pas si facilement…


LE CLS


(Etant membre du CLS et CAVL je ne signerais pas non plus )

Citation :

nous appelons donc les lycéens à débloquer leurs lycées et nous demandons au gouvernement d'ouvrir des négociations dans les plus brefs délais.

Voilà la seule phrase qui me dérange, il conviendrait de la tourner dans l'autre sens. Car rien ne prouve que si les lycéens débloquent leurs lycées, le gouvernement n'ouvrira les négociations... Donc il me semble inopportun qu'un déblocage précosse soit la solution...

J'aimerai que ClémentL s'explique, qu'il nous donne des arguments pour comprendre sont point de vue.

Car il est possible de maintenir une pression sans bloquer les lycées, les blocages de lycée, même si comme l'on a put le voir servent, nous font perdre du temps d'étude(bien plus qu'une manifestation qui dure un après-midi).
Du fait que le gouvernement ait cédé sur ce que nous demandions et que les blocages continuent, nous nous mettons certains profs, proviseurs(et autres membres de la communauté éducative) à dos, croyant que les blocus continuent pour éviter d'avoir cours.
Le gouvernement a reporté sa réforme et accepté de la remettre à zéro comme nous l'avions demandé, il a fait cela pour calmer la jeunesse, mais si il se rend compte que lorsqu'il fait des efforts, les blocages sont de plus en plus nombreux quel sera son intérêt d'accepter nos revendications?
De plus, ce "recul" devant nos revendications, ne satisfait pas tout ceux qui appuyaient le gouvernement, la PEEP nationale par exemple(qui a pourtant voté dans mon lycée l'avis demandant le décalage de la réforme), donc si cela continue, le gouvernement se fera plus d'ennemis que si il n'avait pas cédé.
Et pour finir la continuation des blocage renforce de discours des politique disant que les jeunes ne sont pas dans la rue pour la réforme mais juste à cause d'un malaise social.

Je suis bien entendu ouvert à tout point de vue.

Si la pression est relâchée parce qu'une miette est tombée c'est que vous rentrez dans le jeu de Darcos & Sarko, c'est tout.

Je ne ferai pas un long discours, je ne mettrai pas en cause mon opinion politique personnelle (et ne croyais pas que ce que je vais dire traduit mon opinion, vous pourrez vous tromper), mais ne trouvez-vous pas paradoxale, vous qui faites parti des instances représentatives, et donc des instances de dialogue, de vouloir passer par la force ?

Je sais bien qu'on est plus écoutés par la force que par le dialogue, mais je trouve un peu triste cette situation faite d'élus qui ne croient même pas un peu en leur système.

Simple réflexion personnelle.

On a bien vu ce qui s'est passé les 15 Novembre avec les élus en même temps xD
Ce qui s'est passé l'année dernière avec les syndicats
Et les objectifs de Darcos à l'EN

je croi qu'il n'y a pas de "meuilleur" solution, elles sont toute bonne et justifié, mais en utilisant toute les solutions possibles, ont aura peut etre une chance d'avancer.
De plus le dialogue c'est bien, c'est notre role d'élus cvl / cavl / .... , mais le gouvernement en a rien a faire si on est seul a dialogué, il faut un soutien de la part des eleves deriere, et aussi une force d'opposition, (des deux coté), après c'est mon point de vue, et mon expériances, dans mon lycée, on vien de mettre en place les greves et manifs, mais sa fait 3 moi que l'on négocie, et surtout que l'ont est pas entendu.
Si les greves et manifs ne fonctionne toujours pas, on utilisera alors les blocus, et la gradation.

Joyeux Noel

Code:

Chers camarades du CAVL,

Dans le contexte que nous connaissons /
subissons actuellement, l'ensemble des CVL du secteur de Salon de
Provence demande unanimement aux CAVL de demander une réunion /
conférence de presse extraordinaire avec M. Gaudemar le recteur de
l'académie AIx-Marseille, pilote de la réforme du lycée, pour que ce
dernier réponde aux craintes des élèves qui se manifestent depuis
presque un mois.

J'espère sincèrement que ce message ne tombera pas dans l'oreille d'un sourd.

Cordialement
Les membres du CVL de Salon de Provence

Voila ce que j'ai envoyé à tous les CAVL d'Aix MArseille

s'il accepte de faire une réunion, pourrait-il aussi nous faire venir (académie de Nice), ou ce déplacé lors de notre prochaine réunion.
Boby, pourrais tu voir avec lui si c'est possible et faisable.
Merci

Bah pour le moment seul 2 CAVL m ont répondu ...

peut tu me tenir informer par mp quand tu auras plus d'information stp.
Merci et bonne fêtes

Ce document est plat, sans intérêt et n'aura aucune existence, beaucoup d'efforts seront déployés pour le faire remplir, et il ne servira pas grand chose car peu de personnes lui accorderont de l'importance. De plus, les AG sont souveraines si elles sont légitimes et regroupent beaucoup d'élèves. Les élus doivent faire attention de ne pas se couper de leurs ouailles et de ne pas perdre la confiance des administrations. Même si le blocage est un moyen de démonstration contestable, sa portée symbolique est certaine.